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Most news headlines from the Democratic Republic of the Congo (DRC) have one thing in common—their focus on conflict, particularly in the eastern part of the country. True, conflict is not new in the DRC, which has seen outbreaks in one form or another over the past three decades.
PAUPÉRISATION DU PEUPLE CONGOLAIS : IL PEUT SE SAUVER, IL EN A LA FORCE ! Il n'est un secret pour personne que la population Congolaise est plongée dans une situation indescriptible que très peu de peuples ont enduré sur cette Terre. On voit un peuple croupissant dans une misère noire, vivant dans une insécurité quotidienne occasionnant plusieurs victimes par jour. Les…
En République démocratique du Congo, une crise politique implosive et explosive s'est construite par le régime prédateur et tribal de Félix TSHISEKEDI. Au terme d'élections théâtrales organisées le 20 décembre 2023, en RDC, sans logistiques, sans cartographie et sans indicateurs sur le nombre de Bureaux de votes et des votants, Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, metteur en scène de cette incroyable escroquerie…
Qui ignore que Joseph Kabila Kanambe est un ancien président de triste…
Grands-Lacs : “Paul KAGAME doit dialoguer avec l’opposition rwandaise”, insiste sur la Voix…
Massacres de plusieurs civils innocents de la secte messianique Wazalendo par une…
Pendant longtemps, peuple congolais, on vous a fait miroiter un monde occidental…
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Il est évident que le Congo-Kinshasa va mal. Certainement il va de mal en pis. Car, il ne décolle pas, il s’est embourbé depuis des lustres, ne sachant pas trop quelle route prendre pour sa refondation. Depuis le combat des pères de l’Indépendance jusqu’à nos jours, une analyse pointue de la situation socio-politique nous montre que le mal que traverse ce pays est profond. Il est au cœur même des Congolais. Cependant, ce qui est en contradiction flagrante avec l’objectif poursuivi par les pères de l’Indépendance. Eux, pourtant avaient atteint leur but, dès lors qu’ils ont acquis, sans ambiguïté, l’indépendance immédiate, le 30 Juin 1960. Ces derniers, en effet, ont réussi, au moins, à arracher la liberté des mains de la puissance coloniale qui voulait, à tort ou à raison, se donner 30 ans supplémentaires, arguant que c’est pour mieux préparer les Congolais à accéder à la souveraineté internationale. Et pourtant la liberté n’obéissait pas, heureusement, à cette logique colonialiste, car la liberté ne se donne pas sur un plateau d’argent, mais la liberté s’arrache. Alors, disons bravo à ces pères de l’indépendance qui ont souffert d’humiliations et de tant de sacrifices pour obtenir l’indépendance totale et un pays uni, exempt de la haine et des divisions tribales, il s’agit de: KASA-VUBU, LUMUMBA, BOLIKANGO, TSHOMBE, GBENYE, NZEZA NLANDU, KINGOTOLO, KALONJI, GIZENGA, KASHAMURA, KAMITATU, etc. A partir de l’avènement des nouveaux acteurs politiques, et à leur tête, Joseph-Désiré Mobutu, ayant perpétré le coup d’état, le Congo choisit l’option d’une gestion hors-la-loi, une gestion domestique, empirique et artisanale. Concrètement, le coup d’état de Mobutu était la consécration d’une certaine manière de se comporter : on choisit la force et l’arbitraire, en sacrifiant la loi. En 1964, on venait précisément de voter une nouvelle constitution, celle de Luluabourg (Kananga aujourd’hui), en remplacement de la Loi Fondamentale que les Belges ont rédigée pour le nouveau Congo indépendant. Après les élections de 1964, élections qui se sont bien déroulées dans l’ensemble du territoire national, la nouvelle constitution de Luluabourg est restée lettre morte, et flanquée dans les tiroirs du nouveau conquérant, le nouvel homme fort du régime politique congolais. Et cela a duré 32 ans fermes. On sait que dans la suite, Mobutu a fait rédiger une nouvelle constitution, taillée à sa mesure pour bien consacrer l’état hors-la-loi, l’état de délinquance politique, qu’on pourrait appeler « dictature ». Après les années de Mobutu, de Laurent-Désiré Kabila, de Joseph Kabila, où en est le Congo aujourd’hui dans le domaine de développement et de l’émergence comme nation au cœur de l’Afrique ? On pourrait dire que Mobutu qui avait une certaine dictature éclairée, a su donner la fierté d’être congolais, a assuré la cohésion nationale, en léguant à la postérité un pays puissant et craint à travers le monde mais, n’ayant pas préparé personne à sa succession, croyant qu’il était éternel. Ainsi, il a laissé le Congo au bord du chemin, exposé aux prédateurs de partout, dont le petit Rwanda. Cela n’a été que trop vrai, car l’AFDL a pris le pouvoir dans un contexte de guerre soi-disant de libération, mais une prise de pouvoir hors-la-loi, qui mieux est, ce fut une occupation. Laurent-Désiré n’a pas vu venir cela, il s’est laissé instrumentalisé et piégé. Et lorsqu’il voulait se réveiller, ce fut trop tard. La mort par assassinat a eu raison de lui. Ce fut l’ère de la prédation des richesses du Congo, ouverte à tout l’univers. Le Congo entrait ainsi dans un nouveau calvaire dont l’issue restait incertaine. Aujourd’hui, le Congo de Joseph KABILA KANAMBE, un sinistre personnage s’il en est un, est un pays martyr et sans défense, vampirisé à outrance par ce dernier. Une vache à lait dont les enfants du Congo en étaient très loin écartés, des mamelles de leur mère-patrie, aux conséquences désastreuses. Et cela a entraîné un désastre social incomparable. Au niveau des personnes, c’est la misère qui engendre des maladies, des morts, un dépérissement général de la santé des enfants de notre peuple. Les femmes et les hommes ont été mis dans un cycle de paupérisation bien calculé, et au bout du compte, nous avons récolté en 18 ans du règne kabiliste, un Congo squelettique, mis en lambeaux, méconnaissable, jeté dans la poubelle de l’histoire de l’humanité. En effet, la constitution promulguée en 2006 par Joseph KABILA KANAMBE fut taillée à sa mesure. Les Congolais en ont eu pour leur compte, car ce jeune homme âgé de 29 ans fut rapidement adopté, ne sachant pas qu’il allait leur en faire voir de toutes les couleurs dans le domaine de la régression sociétale. Le Congo de ce jeune militaire des Forces patriotiques rwandaises fut davantage transformé en une jungle où la raison du plus fort faisait la loi : précisément le Rwanda et la cohorte des multinationales ont fait main basse sur le pauvre Congo du fait de ses richesses du sol et du sous-sol. Et ce malheur dure encore jusqu’à ce jour, en dépit de l’avènement d’un fils du pays Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, qui, malheureusement patauge et ne semble pas donner des pistes de sortie de crise et les perspectives d’une vie meilleure. Cela étant, aujourd’hui, de partout, se font entendre des cris de détresse. Non, le Congo n’est pas encore sorti de l’auberge. Le Congo va mal, et il va très mal. Tout le monde s’interroge et se demande « Qui nous fera voir le bonheur » ? Qui ? Cela veut dire quel est l’oiseau rare, quel est ce fils du Congo charismatique qui pourrait rallumer la flamme de l’espérance de tout un peuple dont les visages sont inondés de larmes ? Je serais tenté, en tant qu’analyste politique, confronté chaque jour à des phénomènes politiques, de proposer à mon peuple un Congolais de la trempe du Docteur Denis MUKWEGE, pour sa connaissance du terrain et pour son sens patriotique, ainsi que son dévouement à la cause de la nation congolaise. C’est dans cette école-là qu’il faut trouver des dirigeants de demain pour un Congo nouveau. Que faire pour reconstruire un autre Congo ? Même si…
On dénonce le Rwanda à la tribune des Nations unies, et en même temps on entretient des relations pour le moins ambiguës avec son président, tout en abandonnant Bunagana aux…
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