Les familles des victimes et des rescapés du carnage de 30 août 2023 à Goma, (Nord-Kivu) ont presque terminé la constitution du dossier de mise en accusation contre Félix TSHISEKEDI pour crimes des masses, crimes contre l’humanité, déportation des cadavres, violation et profanation du lieu de culte religieux civil.
Le dossier devrait être transmis au Bureau du Procureur de la CPI- Cour pénale internationale de la Haye (au Pays-Bas). Des associations internationales de défense des Droits de l’homme et les autres bonnes volontés se seraient déjà constituées parties civiles dans l’affaire pour faire accélérer la procédure et tenter décrocher un mandat d’arrêt international contre Félix TSHIEKEDI.
Une source juridique proche du dossier précise à la Voix Populaire que le carnage a en réalité fait plus de 200 morts, dont des enfants, des femmes, des journalistes, tous abattus par balles tirées des unités de la garde rapprochée de Félix TSHISEKEDI dépêchée à Goma pour massacrer les fidèles de l’Eglise WAZALENDO qui, pourtant, organisaient une marche pacifique pour exiger le départ des casques bleues de l’ONU déployés au Congo depuis 1999 et dont le bilan de pacification du pays est totalement négatif. La marche a été réprimée dans le sang. Des corps de femmes, des enfants, des vieux, des jeunes et des adolescents gisaient partout dans le périmètre visé par le coups de feu. Dépassés par l’ampleur de leurs actes criminels, les miliciens de Félix TSHISEKEDI ont pris peur. Plusieurs corps auraient été ramassés hâtivement et jetés dans le Lac pour dissimuler les preuves macabres.
Selon la Constitution congolaise, référée par le Député national Jean-Baptiste KASEKWA, « seul le Président de la République dispose du pouvoir d’instruction exclusive sur les éléments de la garde républicaine ». De ce fait, Félix TSHISEKEDI est pénalement responsable de tous les crimes commis par la milice chargée de sa sécurité personnelle (Vidéo).
Un survivant des ces tueries ignobles révèle la participation aux massacres du 30 août 2023 des soldats roumains qui ont épaulé les unités de TSHISEKEDI pour massacrer les civils à Goma.
Des mouvements de la résistance congolaise se montrent également solidaires et veulent appuyer la plainte.
Idem pour la Coalition populaire et le Gouvernement populaire de la République démocratique du Congo qui ne ménagent aucun effort afin de voir la justice frapper sévèrement tous les responsables de ces crimes contre l’humanité commis en plein jour et en pleine Ville de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu.
Il n’est nullement question de cautionner en République démocratique du Congo une quelconque élection sous un régime criminel. Le régime de M. Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO doit être liquidé et les auteurs des crimes jugés.
La Rédaction.
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