LE POUVOIR DE KINSHASA TUE LE PEUPLE DONT IL EST RESPONSABLE DE LA SÉCURITÉ.
Depuis fin décembre 2.018, le « Président » F. Antoine Tshissekedi Tshilombo est arrivé au pouvoir à Kinshasa sous le régime de nomination à l’issu d’un arrangement insolite.
Depuis lors, plus de 80.000 congolais sont morts de différents faits de brutalités.
Aussi bien par les soi-disant groupes armés que par les rebelles du M23 déterrés par le « président » F. Tshissekedi qui les a reçu à la demande de son ami, Paul Kagame dans les faubourgs de la capitale Kinshasa.
Non élu par une grande partie de la population de l’Est du pays qui n’a pas participé aux élections dont les résultats furent inversés en sa faveur; Monsieur Tshissekedi garda une rancœur à l’endroit de nos compatriotes de l’Est jusqu’à date.
IL UTILISE TOUS LES MOYENS POUR MATTER CES POPULATIONS.
Depuis que F.A. Tshissekedi Tshilombo a été catapulté au pouvoir, on ne compte plus le nombre des morts dans les provinces de l’Est du pays; Nord et Sud-Kivu.
Alors que d’aucuns croyaient que ce sont les groupes armés qui massacraient les congolais, le monde découvre que c’est la police politique de Tshilombo et une frange de l’armée tribalisée qui tue.
Ceci s’est justifié par le massacre à grande échelle effectué par les forces de sécurité du pouvoir à l’Est du pays où la police et l’armée ont tiré à vue sur les paisibles manifestants ôtant la vie à plusieurs centaines de congolais.
ET MAINTENANT ?
Confus et confondu à cause des éléments confondants, le président dépêche une délégation dans son lieu du crime de masse pour tenter de paner la poudre aux yeux des observateurs.
Ainsi, la Coalition Populaire, seule force de l’opposition politique crédible du pays, considère l’envoie de cette délégation comme une gesticulation d’un pouvoir finissant et qui navigue à vue. Selon la Coalition Populaire qui soutien la ville morte décrétée par le CLC (comité laïc de coordination) ce lundi 04 Septembre sur toute l’étendue du territoire urbain; tant la fragilité et les faiblesses intrinsèques du régime Tshilombo sont exaspérants.
Ainsi fait le 03 Septembre 2023
Willy Delors ONGENDA, Secrétaire Général / Coalition Populaire.
Dans un pays normal, le ministre de la défense et ce fameux gouverneur devraient déjà déposer leurs démission et être poursuivi pour meurtres, mais hélas nous assisterons à des procès bidons qui n’aboutiront en aucune solution pcq ces carnages a été prémédité.