Massacres de plusieurs civils innocents de la secte messianique Wazalendo par une milice tribale à la solde de Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Ce denier mérite des poursuites judiciaires internationales pour crimes contre l’humanité.
Jean Pierre bemba Gombo n’avait – il pas été arrêté, jugé et condamné à la CPI – Cour pénale internationale de la Haye pour des massacres que ses militaires de la rébellion MLC avaient commis en Centrafrique ? La réponse est affirmative.
Le 30 août 2023, dans la ville de Goma (Nord-Kivu), des militaires privés de Félix TSHILOMBO, issus de sa garde rapprochée ont massacré lâchement la population civile, en plein jour et en pleine ville.
Cette milice sanguinaire faussement appelée « unité spéciale » est une armée privée de Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO greffée au sein de l’ancienne garde républicaine. Elle a la gâchette facile. Nombre de ces jeunes gens recrutés, formés et déversés au sein de cette garde républicaine de Félix TSHILOMBO sont tous d’une même tribu: Ils sont des kasaiens extrémistes, fanatiques et criminels radicaux. Ce sont des anciens chômeurs, agitateurs, crieurs, combattants et militants extrémistes du parti politique au pouvoir, l’UDPS. 98% de membres composant cette milice sont des kasaiens. Ils répondent directement aux ordres et instructions fermes du Chef de l’État, via leur général Gaby KIRIZA, frère de la première dame, Denise NYAKERU qui commande ces unités à partir de Kinshasa. « Ces unités spéciales » échappent également au commandement, au contrôle et aux ordres du Chef d’État-major général de l’armée, Christian TSHIWEWE.
Ces miliciens sans discipline et sans éthique MILITAIRE sont prêts à tout. Ils ont la gâchette facile. Voilà pourquoi, ils ont tiré à vue sur des centaines des civils dans la ville de Goma le 30 août 2023. Ils ont une spécialité :
1. Gâchette facile contre les populations civiles,
2. Vols des chèvres, des moutons, des instruments musicaux des paisibles citoyens victimes des Massacres,
3. Fuir le front ou champ de bataille face aux terroristes rwandais du M23, et/ou aux miliciens Codeco et ADF-NALU.
Ces miliciens tribaux de la « force spéciale » au sein de la garde républicaine de TSHISEKEDI savent seulement montrer leurs biceps devant les populations civiles sans armes ni protection.
À Goma, à l’aube du 30 août 2023, sur instruction ferme de la haute hiérarchie du pays, ils ont froidement massacré des centaines de croyants civils, non violents et non armés, tous fidèles de l’Eglise Wazalendo de la foi judaïque messianique Uzalendo. Ils ont commis ce carnage au nom de leur gourou, Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. C’est un sacré crime contre l’humanité qui ne doit pas rester impuni.
Voilà pourquoi, les ONGS internationales de défense des droits de l’homme, la population du Grand KIVU, la société civile du Grand KIVU, les mouvements citoyens Lucha, Véranda mtsanga ainsi que le bureau international des grands avertisseurs demandent à la Cour pénale internationale (CPI) d’ouvrir une enquête pénale internationale à la charge de Félix TSHISEKEDI aux fins d’émettre un mandat d’arrêt international et d’engager des poursuites judiciaires contre Félix TSHILOMBO, patron de la garde républicaine et des « forces spéciales » exécutants des massacres du 30 août 2023 à Goma.
Le Président sortant de la République démocratique du Congo a pris en otage la garde républicaine et les « forces spéciales ». Il manipule et instrumentalise à son gré, ces miliciens contre la population civile, contre les opposants, contre les militants des mouvements citoyens, de la société civile et contre tout CONGOLAIS qui critique, dénonce sa mauvaise gestion du pays et contre tout celui qui parle de la deuxième alternance pacifique le 20 décembre prochain.
Ses soldats ont commis un grand Massacre dans la ville de Goma. Lors de cette opération criminelle, Ses soldats ont volé les chèvres, les moutons, les instruments musicaux des paisibles citoyens. Ses soldats se sont comportés de la même façon que les soldats de jean pierre bemba gombo en Centrafrique. Ils ont commis un crime contre l’humanité. Félix TSHISEEDI a épargné le gouverneur militaire, Constant Ndima de toutes poursuites judiciaires, craignant sûrement qu’il sera cité nommément comme donneur d’ordres et instruction direct de ces massacres à partir de Kinshasa.
Voilà pourquoi, Félix TSHILOMBO mérite des poursuites judiciaires. Il a des mains ensanglantées des vies innocentes des centaines des civils congolais. Il n’est plus digne de prétendre à un nouveau mandat. Félix TSHISEKEDI doit être démis, arrêté, et jugé pour ces crimes contre l’humanité commis sur les des civils le 30 août 2023, à Goma.
Qui vivra, verra…
Direction d’État et conseil départemental.
Coalition populaire et Gouvernement populaire / Nord et sud Kivu + Maniema.