« Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. L’imbécillité humaine est un bien curieux spectacle. Il n’est nulle honte à être un « vieux cochon », mais beaucoup de ridicule à être un vieil imbécile. » Destinée DOUKAGA, Ancienne ministre de SASSOU NGUESSO.
… il nous parait essentiel de rappeler à ces gueux de la chorale champêtre de la RDCongo que : quiconque égratigne Dénis SASSOU N’GUESSO, égratigne tout le peuple congolais. Denis SASSOU N’GUESSO est une institution congolaise, la plus haute. Il incarne l’image de la République, donc celle de la mère patrie. Tenir des propos outrageux à son égard revient à offusquer la nation entière, de grâce apprenez de bonne heure que l’on ne touche pas à cette institution sans conséquences. La répartie sera à chaque fois proportionnelle, en signe de notre indignation. C’est de bonne guerre, n’est-ce pas ?
En clair: le Président Denis SASSOU N’GUESSO n’a pas de compte à rendre à quelques dirigeants de ces pays dit-on « Grands »(du moins en apparence et en mépris), mais incompétents dans leur prérogatives de garantir la souveraineté de leurs territoires.
Ce n’est pas la faute de Denis SASSOU N’GUESSO si vous vous courbez l’échine au premier coup de rafale d’une petite mitraillette de quelques bambins armés.
Célèbres et définitivement poltrons que vous faites, tous les fins observateurs vous savent incapables de défendre votre pays. Vous voilà, fondus en accusateurs de tout venant.
Le Congo-Brazzaville est libre de conclure des accords avec les partenaires de son choix, et il ne recevra des injonctions de nulle part, surtout pas de quelques semi-professeurs d’arrière boutique adulés par quelques journaleux en carton, en quête de subsistance. Halte !
Autant que l’on s’en souvienne, le Congo-Brazzaville n’a jamais eu besoin de la RDCongo pour exister. Ni le loisir, ni le besoin ou le rêve ne nous a jamais poussé vers ces confins là.
Par contre, nous savons dans quel sens va le gros des flux migratoires entre les deux pays, et nous savons aussi d’emblée lesquels mourraient de chagrin si l’on venait à fermer nos frontières respectives.
Mais, nous sommes au fait de ce que la petitesse de nos voisins s’est souvent matérialisée entre autres, par leur penchant notoire à la diatribe et à l’invective : ce qui dénote tout à la fois la monotonie qui les empoigne, et les seuls mérites dont ils peuvent se prévaloir, après la danse obscène.
Cependant, le Congo-Brazzaville n’est en aucun cas comptable de l’égarement séculaire de nos frères d’en face. S’ils ont de l’énergie à revendre en matière de platitude collective, ils gagneraient à faire œuvre utile, en la mettant à l’actif d’une véritable offensive à l’Est de leur pays la RDC en proie à des conflits depuis des lustres. Cela les occuperait utilement et leur éviterait d’entretenir davantage cette image de pays ridicule, avec des citoyens étourdis, sans mémoire, dont l’existence se résume à un concentré de distraction quotidienne qui frise la risée du monde entier.
Le Congo-Brazzaville est un pays fier. Aucune force extérieure n’oserait s’en prendre à l’intégrité de notre territoire sans recevoir la force de frappe de notre Président en réaction. Le dirait-on autant pour certains autres ? Suivez mon regard.
Denis SASSOU N’GUESSO est un fin stratège, homme de poigne, « ultra-bâtisseurs », un géant en acier, admiré et respecté à travers le continent africain et au delà.
Chers animateurs : parlez de vos multiples déboires avec entrain, mais n’évoquez le nom de Denis SASSOU N’GUESSO que pour solliciter son arbitrage dans vos échecs monumentaux. Il est vertueux, généreux, attentif. Il sera là, disponible pour vous appuyer. Il se fera l’honneur de mettre son expérience à contribution, encore une fois. Mais, si vous vous y frottez, vous allez vous y piquer.
Vive la coopération Congo-Rwanda !
Vive Denis SASSOU N’GUESSO !
Vive Paul KAGAME !
Les deux leaders incontestables et incontournables de la sous-région »
(Destinée DOUKAGA)
TEXTE REPRIS PAR LA VOIX POPULAIRE.