LA COALITION POPULAIRE MET EN GARDE CONTRE… la caution spectaculaire à la tribalisation du pays, à la délinquance politique, aux pillages ainsi qu’à la déviance politique de l’Etat.
En effet, comment aller aux élections lorsque le « Président »de la République candidat, le président de la cour constitutionnelle, le ministre de l’intérieur, le ministre de la justice, le gouverneur de la Banque centrale, le ministre des finances et le président de la Ceni sont tous issus de la même entité territoriale et linguistique ?
(Ça s’appelle la tribalisation du pays).
Comment peut-ont aller aux élections avec un « président » qui caricature et privatise les circonscriptions favorisant les élections, dans des institutions censées être démocratiques, des membres d’une même famille?
Chambre Haute; Conjoint Sénateur…Conjointe suppléante…
Chambre basse; Fils Député …belle fille suppléante…
Assemblée Provinciale: fille députée… gendre suppléant… et ainsi de suite dans tout l’espace politique du pays. (Ça s’appelle, la délinquance politique.)
Aussi la Coalition populaire qui propose un regard et une vision nouvelle, stigmatise les détournements du denier public à travers une profusion de caisses noires que détiennent les conseillers du « président »au moment ou, jusqu’à date, le procès théâtral de 100 jours reste frais dans les esprits. La Coalition Populaire qui en appelle au civisme et au sens du devoir et qui voit le peuple Congolais exprimer moult inquiétudes au regard du marasme qui secoue le pays dans tous les secteurs, attire l’attention de ceux qui jouent aux sourds-muets et aux borgnes en croyant que l’auteur du problème peut devenir une solution.
Le « président » actuel arrivé au pouvoir par nomination à l’issu d’un arrangement à l’africaine sous un arbre n’avait aucun programme et le résultat est sans appel.
Le bilan est zéro et la conséquence est que le pays se trouve coincé au bas du fond.
Ainsi, la Coalition populaire qui condamne la légalisation des anti valeurs, met en garde le pouvoir agonisant de Kinshasa qui prépare une deuxième nomination d’un « président »de la république qui ne s’est pas montré à la hauteur et qui a profané la fonction du chef de l’État dans notre pays.
La Coalition Populaire qui apporte une expertise nouvelle met en garde contre la caution à la tribalisation qui consisterait à donner la possibilité au président de la Ceni ainsi qu’à son frère de la Cour constitutionnelle; de maintenir leur ami à la tête du pays.
La Coalition Populaire relève qu’en cinq ans, le « président Félix Tshilombo » n’a fait que faire pousser certains immeubles de terre, rénover certains autres, illuminer un stade à l’aide des feux d’artifices lors des jeux de la Francophonie au cours desquels, nombreuses délégations se sont plaint des conditions d’hébergement.
Si Jules César disait que pour faire taire un peuple, il faut lui donner du jeu et du pain, à Kinshasa le pain n’a pas été fourni au peuple.
Imiter Jules César comme le fit Félix Tshilombo fut donc un raté énorme par le « président » à zéro action et que légitimement se doit de se conjuguer au passé.
Rejoignez la Coalition Populaire via WWW.COALITIONPOPULAIRE.ORG
Prof. Willy Delors ONNGENDA,
Conseiller d’Etat et Coordonnateur du Pôle politique & juridique.
Conseiller d’Etat et Coordonnateur du Pôle politique & juridique.
Courriel: pole.politique@coalitionpopulaire.org
En 2022,après l’arrestation de Jean Marc kabund, j’avais écrit un article informant au peuple ce qui devrait arriver au pays aujourd’hui même la nomination de Péter kazadi, Jean Pierre bemba et d’autres personnages qui devraient incarné les rôles, afin de faire maintenir tshilombo au pouvoir par fraude.