Tôt ce matin, lundi 20 décembre 2021. Les patriotes résistants du Nord Kivu ont bravé la peur. Ils ont jailli de partout, pour opposer une fin de non-recevoir à Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Ce dernier a symboliquement été enterré comme l’indique ce cercueil en illustration. Dans la tradition bantoue, c’est un signal fort que le peuple souverain vient d’envoyer à Félix TSHILOMBO.
En effet, depuis le début de son mandat frauduleux, en 2019, FATSHI excelle dans les actes de provocation contre la nation congolaise et contre le peuple tout entier. Corrompu et manipulé par le sanguinaire Paul KAGAME, Félix TSHISEKEDI s’est permis, sans requérir l’autorisation du peuple et sans préalablement saisir le parlement, d’approuver l’occupation par les Rwandais et les Ougandais, de la partie Est du Congo Kinshasa. Il a tour à tour, sans processus préalable, cédé l’Aéroport de Goma aux rwandais ; accordé à Paul KAGAME le droit d’ériger sur le sol congolais, au Nord – Kivu, un espace territorial pour construire une colonie rwandaises appelée « Village moderne du Rwanda en RDC » ; et pour couronner le tout, Félix-Antoine TSHISEKEDI THSILOMBO vient de demander à Paul KAGAME, de déployer la police rwandaise à Goma. Peu avant, c’est à l’Armée ougandaise que FATSHI a ouvert les portes frontalières du Congo avec armes et munitions. La finalité de toutes ces manœuvres n’est autre que la balkanisation de la République démocratique du Congo tant voulue par les puissances occidentales via leurs valets au Rwanda et en Ouganda. L’histoire récente retient que de 1994 à nos jours, les Rwandais et les Ougandais ont massacré plus de 10 millions de civils congolais. Ce carnage se poursuit, principalement dans la partie orientale de la RDC.
« L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte face à son bourreau ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave docile répondra seul de son malheur s’il se berce d’illusions sur une éventuelle condescendance d’un maître qui prétend l’affranchir ». « Sans la lutte, nous n’obtiendrons rien ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais ».
Tirant les conséquences de ce qui précède, les Congolais sont désormais déterminés à activer l’article 64 de la Constitution pour d’une part, déguerpir TSHILOMBO du palais de la Nation, et pour d’autre part, le ligoter et le traduire en justice pour crime haute trahison, sur pieds des articles 163 ; 164 ; 165 ; 166 & 167 de la Constitution en vigueur au Congo Kinshasa. De ce fait, M. TSHISEKEDI doit définitivement oublier son rêve d’un nouveau mandat ou d’une quelconque élection sous sa houlette en République démocratique du Congo, car la voix du peuple, c’est la voix de Dieu.
La Rédaction.