En cette clôture de 2021, la République démocratique du Congo (RDC) est en train de perdre ses derniers verrous de souveraineté.
La balkanisation tant rêvée par les puissances impérialistes occidentales, qui s’appuient sur les armées étrangères, dont la MONUSCO pour ce faire, a atteint sa maturité. « Il est temps d’avancer en accélération pour boucler la boucle, avant que ne soit délogé du Palais de la nation congolaise, le plus médiocre des Présidents qu’a connu le Congo belge durant ces 6 dernières décennies d’indépendance fictive », chuchotent-ils dans leurs bureaux huppés de Bruxelles, Paris, Londres et Washington.
Oui, c’est univoque, Félix – Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, dit FATSHI, est le plus médiocre voire le plus idiot des Chefs d’état qui se sont succédé à la tête du Kongo postcolonial. En moins de trois années à la tête du pays, il a ouvert la porte du Congo à tous les charognards, même les plus mercantilistes. Plus de trois armées anglophiles d’occupation chargées d’activer le plan de balkanisation du grand Congo ont foulé le sol du territoire le plus riche et le plus convoité de la planète, avec la bénédiction et la complicité coupable de Félix TSHISEKEDI. On s’interroge pourtant sur la proximité de Félix avec ces pays anglophones, lui qui ne prononce ni ne comprend aucun MOT en anglais. Il est sûrement guidé par son instinct d’ignorance et de naïveté chronique.
Pendant que nous alignons ces phrases, on dénombre trois armées supplémentaires sur notre territoire en plus de la vingtaine d’armées qui constitue la MONUSCO. On y ajoute désormais l’armée kenyane, l’armée ougandaise et l’armée rwandaise. Ces deux dernières qui sont responsables des massacres qui ont causé la mort de plus de 10 millions de civils congolais, de 1997 à nos jours, sont également à l’origine de l’assassinat, en janvier 2001, de Laurent Désiré KABILA qui s’était farouchement opposé à ce complot d’atteinte à la souveraineté nationale concocté par les puissances étrangères. Nous sommes face à une stratégie du chaos et de solution. Une véritable pyromanie. Felix TSHISEKEDI, un néophyte politique, au figura et au propre, et dont le niveau de scolarité n’atteint pas le Baccalauréat, est celui qui sert de cheval de Troie à tous ces ennemis de la République Démocratique du Congo. L’Ouganda a déjà installé son armée et prépare son administration à l’intérieure du Congo (au Nord-Est). Le Rwanda a également déployé son armée déguisée en force de police à l’Est du pays, et occupe l’Aéroport international de Goma. Quant au bataillon kenyan, il est, selon nos sources, concentré sur le pillage de minéraux stratégiques du Congo. Le tout, avec l’autorisation de Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO qui est désormais défini comme étant l’incarnation de la malédiction congolaise. C’est lui qui instaure le régime de Vichy, et est donc, qualifié, par les historiens politiques, de Général Pétain, version congolaise. Il faut en comprendre la gravité et en mesurer les enjeux à la fois géoéconomiques et géostratégiques. Pour rappel, l’économie du Congo dépend à 70% des ressources minières de l’Est. Le Congo dépourvu de sa partie orientale, deviendra comme un homme sans colonne vertébrale.
Entre-temps, les Congolais sont distraits, hypnotisés par les musiques et les sectes dites Eglise de réveil, à Kinshasa, dans leur laxisme maladif, ils pensent que la balkanisation et ceux-là qui en sont architectes, viendront publiquement pour la déclarer. Du côté des Journalistes congolais faiseurs d’opinion et censés se rendre compte que la classe politique issue du régime TSHISEKEDI est démissionnaire, silence Radio. Ils n’osent pas se mobiliser et jouer leur part de l’histoire. Et pourtant, la République démocratique du Congo compte le plus grand nombre de journalistes en Afrique, avec plus de 700 organes de presse, tous les domaines variés. Ils se terrent dans une indifférence qui frise leur complicité coupable. Un diplomate que nous avons interrogé à ce sujet a ironisé et estimé que :
« les Journalistes congolais, sont en majorité d’origine rwandaise ou assimilés » et de conclure « dans une telle situation, il revient aux journalistes de briser le silence pour sauver votre pays de l’atomisation ».
« Mais nous devons savoir que nous sommes déjà balkanisés, c’est difficile de l’annoncer mais les actes posés par les décideurs en disent tout » … lit-on dans les réseaux sociaux congolais, médusés.
« L’aéroport de Goma est parti sous nos yeux, tous les services de renseignement sont entre les mains des Rwandais, les FARDC ne commandent plus officiellement le Nord Kivu, les Ougandais d’un autre côté, … et ça commence comme de rumeurs et après-demain, ça sera une réalité, la RAWBANK installe son sapin de Noël dans les villes de Goma et Bukavu avec les couleurs du drapeau rwandais », rapporte un patriote congolais feutré dans son monde d’impuissance.
Le tableau étant brossé et le salut de la patrie étant la Loi suprême, les Congolais doivent maintenant se vêtir du courage et de l’audace, sans distinction d’origine ethnique, se mobiliser pour premièrement : – Mettre dehors Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en application des articles 64 ;163 ;164 ;165 ;166 & 167 de la constitution. Puis, le menotter et le traduire en justice pour crime de haute trahison ; Et – deuxièmement : Activer l’armée populaire pour bouter dehors tous ces occupants criminels venus d’ailleurs, et ce, conformément aux dispositions de la charte de l’organisation des Nations unies (ONU) sur les droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Il est inacceptable et inconcevable que, d’une part, les Occidentaux qui, dans leurs campagnes électorales, prêchent à leurs peuples la haine contre l’étranger pour gagner les scrutins chez eux (Mouvements d’extrême droite) , et d’autre part, ces mêmes Occidentaux viennent nous manipuler et enfin nous imposer un Destin dans notre propre Congo.
La Rédaction.