En Séjour à Cotonou, au Benin, ce dimanche 16 avril 2023, et comme tout bon menteur, manipulateur, narcissique et pyromane, Paul KAGAME est allé jusqu’à contredire l’histoire.
On dirait que le criminel rwandais vit dans ses rêves hallucinants au lieu de rêver la réalité de sa vie criminogène !
Pourtant, on ne triche jamais avec l’histoire. Tel un toxicomane ivre de chanvre, voici ce que déclare, au Benin, Paul KAGAME lors d’une conférence de Presse conjointe avec M. Patrice TALON : Le problème du Congo (RDC), le problème de la région ou encore le problème du Rwanda n’est pas le M23. Le M23 est la résultante des plusieurs autres problèmes qui n’ont pas été résolus depuis des décennies. Le problème du M23 existait même avant que TSHISEKEDI ne devienne président. Cela remonte même à 2012 », d’après le criminel et mythomane rwandais téléguidé par la mafia de l’occident capitaliste-néolibéral.
Comme un mauvais tricheur, le terroriste Paul KAGAME a refusé de limiter l’autopsie de la situation au problème actuel. Il enchaine, comme un fou : « En ce qui concerne le M23 et toutes les personnes liées au M23, les congolais qui ont bénéficié de l’héritage rwandais, les frontières qui ont été construites durant la période coloniale ont affecté et divisé nos peuples. Une partie du Rwanda qui a été donnée au Congo, le sud à l’Ouganda ». En réalité, Paul KAGAME veut, grâce à la naïveté et à la complicité de Félix TSHILOMBO, s’enfermer dans un monde d’illusions irréalistes et irréalisables.
Toutefois, face à la gravité de ces propos qui frisent les appétits gloutons et impériaux de la mafia occidentale qui se sert de M. KAGAME comme garçon de course, il faut une solution holistique pour le salut du Congo Kinshasa.
Il faut une compréhension de fond du message de KAGAME pour en mesurer la dangerosité. D’entrée de jeu, vous comprendrez que, dans son message attentatoire à la souveraineté territoriale du Congo, le terroriste et félin Paul KAGAME commence par dédouaner son allié intime, Félix TSHISEKEDI :« Le problème du M23 existait même avant que TSHISEKEDI ne devienne président. Cela remonte même à 2012 » dit-il, feignant d’ignorer le sacré principe de la continuité de l’Etat.
Ici, nous sommes face à un jeu et un piège machiavéliques soigneusement préparés par les Sieurs Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO et son complice Paul Kagamé, pour ensuite nous y enfermer, après avoir déployé, à l’Est du pays, des forces armées tutsis nilotiques. Il sied de souligner que Félix TSHILOMBO est à lui seul le responsable de l’occupation, par des armées étrangères régionales, de l’Est du Congo. Il a signé l’entrée de ces armées nilotiques, sans avoir recours au feu vert du législateur congolais, pourtant, requis par la constitution congolaise. Il doit donc en tirer les conséquences.
La communauté dite « internationale » est-elle aussi complice de la situation chaotique que traverse la République démocratique Congo qui, à date, totalise plus de 10 millions de morts civils massacrés par les armées rwandaises et ougandaises déguisées en mouvements rebelles. Car, sans son appui avéré, TSHILOMBO qui n’a aucun background ne serait jamais devenu président de la république. Voilà ce qui explique la proximité inquiétante de Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO et Nicolas Sarkozy (chargé de missions de Emmanuel MACRON). En effet, Nicolas SARKOZY est, depuis longtemps, artisan et partisan de cette macabre idée de balkanisation du Congo. Il était récemment à Kinshasa, reçu nuitamment, comme un voleur, par Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO sans que la teneur de leur discussion n’ait été révélée.
L’ultime et pressante solution qui s’impose aux congolais, s’ils veulent sauver leur pays, est soit de démettre Félix-Antoine TSHISEKEDI, soit d’abattre illico-presto ce pseudo président qui excelle dans la trahison et la violation du serment.
Bien parlez, seulement n’oublions pas d’arreter Kagame et sa bande de criminals. Quand je dis arreter, je voudrais dire qu’il faut en finir avec tous ces voleurs et criminals.