C’est une demande d’extradition qui était prévisible, après que le condamné a pris fuite vers la République démocratique du Congo, pour se soustraire d’une décision de justice rendue dans son pays, le Canada.
En effet, selon nos sources, une demande confidentielle assortie d’un mandat d’arrêt international a été adressée à la police nationale congolaise (PNC), courant novembre 2021. Le texte demande aux autorités congolaises d’appréhender et d’expulser, vers le Canada, le Faux Pasteur Paul MUKENDI (citoyen canadien), en cavale depuis plusieurs mois, et finalement localisé, depuis peu, en République démocratique du Congo. Il s’est échappé de Montréal après avoir été condamné, par la justice canadienne à 8 ans de prison pour crimes sexuels et tentatives d’assassinat.
En fuite à Kinshasa, le violeur et criminel multirécidiviste, Paul MUKENDI pourrait bientôt être arrêté et extradé vers le Canada, pour y purger sa peine de 8 ans de prison ferme. Une source policière congolaise qui confirme l’info nous révèle, sous couvert d’anonymat que, sauf complicité du régime TSHISEKEDI dont est conseiller occulte Paul MUKENDI, l’arrestation du fugitif n’est plus qu’une question d’heures. Les services de police qui collaborent avec Interpol sont à sa trousse. Le criminel Paul MUKENDI se serait servi des faux documents d’identité pour s’échapper du territoire canadien. Une infraction supplémentaire qui pourrait aggraver et alourdir sa peine.
Selon nos confrères de Radio Canada Internationale, « l’été dernier, la Cour d’appel du Québec avait rejeté la demande du pasteur Paul Mukendi, qui cherchait à faire annuler sa condamnation pour divers crimes, dont des agressions sexuelles sur une mineure. Il devra donc se rendre aux autorités carcérales afin de purger sa peine ».
En 2019, au terme d’un procès de près d’un mois, un Jury a déclaré l’homme de Québec coupable de neuf chefs d’accusation concernant une victime.
Il est condamné pour : agressions sexuelles, attouchements, menaces de causer la mort ou des blessures corporelles, voies de fait simples et voies de fait armées. Ces faits se sont déroulés sur une dizaine d’années, entre 2002 et 2016. L’homme se servait d’une fausse onction biblique pour manipuler et maltraiter sa victime, du reste hypnotisé par ce pervers narcissique faussement appelé « Pasteur ».
La victime fût adepte d’une secte que Sieur Mukendi dirigeait, dénommée « le Centre évangélique Parole de vie ». Elle était mineure lors de certains des crimes perpétrés contre elle. Lors du procès, elle a relaté au juge Jean-François ÉMOND de la Cour supérieure que le « Pasteur » lui a fait subir les premiers attouchements sexuels alors qu’elle n’avait que 14 ans. Selon le jugement, des rapports sexuels complets ont débuté l’année suivante. À certaines occasions, il l’a violemment tabassé avant de l’agresser, sous forme d’esclave sexuelle. La justice canadienne interdit d’identifier la victime.
Après le procès et ayant rejeté l’appel, le juge ÉMOND Jean-François a condamné Paul Mukendi à une peine carcérale de 8 ans. La Cour d’appel a maintenu le verdict de culpabilité criminelle. Elle ordonne à l’homme de se livrer aux autorités carcérales.
Dès lors, il revient à Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO, dont l’intéressé criminel est réputé être très proche, de le livrer sans atermoiements aux autorités judiciaires canadiennes.
La Rédaction.